M. Emmanuel Macron, dans 5 jours, mon filleul de cœur, Sohan, songera à la France sous la tente qui l’abrite tant bien que mal, comme 200 autres enfants français prisonniers dans le camp de Roj au Nord-est syrien.
Transi de froid malgré son anorak, il ne parviendra pas à s’endormir. Sohan n’a pourtant commis aucun crime.