Les habitant·e·s de New-York qui vivent dans des quartiers où le risque de contrôle et de fouille (« stop-and-frisk ») par la police est plus élevé, sont également plus exposé·e·x·s aux technologies de reconnaissance faciale intrusives, révèlent de nouvelles recherches menées par Amnesty International et ses partenaires.
Veille La reconnaissance faciale renforce les méthodes racistes de contrôle et de fouille de la police
