La police, les services du renseignement, les forces de sécurité et des agents de l’administration pénitentiaire iraniens se sont livrés à une épouvantable répression avec la complicité de juges et de procureurs. Ils ont recouru à la détention arbitraire, à la disparition forcée, à la torture et à d’autres formes de mauvais traitements contre les personnes arrêtées en raison des manifestations qui ont eu lieu dans tout le pays en novembre 2019.
Veille Iran : torture, violences sexuelles, décharges électriques: la répression de novembre 2019 documentée
