Après la destruction partielle de la ville de Beyrouth par l’explosion de 2 750 tonnes de nitrate d’ammonium, l’État libanais éprouve bien des difficultés à répondre aux injonctions de la communauté internationale qui lui intime de se réformer.
Après la destruction partielle de la ville de Beyrouth par l’explosion de 2 750 tonnes de nitrate d’ammonium, l’État libanais éprouve bien des difficultés à répondre aux injonctions de la communauté internationale qui lui intime de se réformer.