Les combattants affiliés au Front populaire de libération du Tigré (FPLT) ont délibérément tué des dizaines de personnes, violé en réunion des dizaines de femmes et de jeunes filles – parfois âgées de 14 ans seulement – et pillé des biens publics et privés dans deux secteurs de la région Amhara, dans le nord de l’Éthiopie, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport.
Veille Éthiopie / région Amhara : Les forces tigréennes assassinent, violent et pillent lors d’attaques contre des civil·e·s
