Si l’ACAT-France salue la mobilisation pour l’accueil des réfugiés ukrainiens, elle constate que c’est la première fois que la directive européenne relative à la « protection temporaire » est activée depuis sa création en 2001. Dès lors, n’est-il pas légitime de se demander pourquoi ce qui est possible aujourd’hui ne l’a pas été auparavant pour des demandeurs d’asile en provenance d’autres pays ?